Le cinquième jour avec l’aviateur, le petit
prince demande si les moutons mangent les fleurs et il dit oui. L’aviateur
était occupé à essayer de dévisser un boulon trop serré de son moteur pour
écouter. Il était soucieux parce que "sa panne commençait de s’apparaître comme
très grave, et l’eau à boire qui s’épuisait se faisait craindre le pire". Le
petit prince a devenu fâché parce que l’aviateur a commencé a parlé comme les
grands personnes. Il l’a comparé a un homme cramoisi parce qu’il croirait qu’il
était sérieux parce qu’il n’a jamais aimé
personne, ni senti une fleur. Le petit prince aime sa fleur beaucoup et quand
l’aviateur n’écouté pas, il a commencé a pleuré. Il a lâché ses outils parce
qu’il a réalisé qu’il avait un petit prince à consoler. L’auteur a dessiné une
muselière pour protéger son mouton et une armure pour sa fleur parce que le
petit prince été inquiet.
A la fin du chapitre,
l’auteur ne comprend pas comment de consoler le petit prince ou de l’aider
parce qu’il n’avait jamais besoin d’aider un autre personne sauf lui-même.
Alexandra Boucher
Alexandra Boucher
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